Traitement TOC par Valérie Ennen
Je m’appelle Valérie Ennen. Je suis gestalt-thérapeute (Institut Belge de Gestalt-thérapie) et médiatrice familiale (UCL). Je suis également formée à la psychopathologie à l’IFTS, membre agréée de la Société Belge de Gestalt et titulaire du Certificat Européen de Psychothérapie (CEP).Gestalt-thérapeute
Issue d’un milieu commerçant, j’ai été baignée depuis toujours dans un brassage humain continu et de ma place, j’ai appris très tôt à observer le monde. Depuis toujours, je suis fascinée par ces « autres », à la fois si familiers, si semblables, et pourtant tellement particuliers et différents. C’est d’abord au travers d’une fonction commerciale que j’ai commencé à être dans une relation d’aide et d’écoute.
Gestionnaire d’un département Loss & Claim, j’ai été formée à l’écoute, à la gestion des conflits par l’Analyse Transactionnelle et à la Communication Non Violente afin de pouvoir accueillir des personnes victimes d’une perte matérielle, parfois humaine, en proie aux sentiments d’angoisse et d’insécurité que cela peut susciter.
Cette expérience m’a permis d’acquérir à la fois un sens pragmatique et une grande capacité d’empathie. Je me suis ensuite consacrée entièrement à la psychothérapie après 4 ans de formation en gestalt-thérapie, 2 ans en médiation familiale et 2 ans en psychopathologie. Mon moteur, mon crédo, c’est la confiance fondamentale que j’ai en la capacité de chacun à rebondir, à élaborer ses solutions, à chercher et trouver ce qui est bon pour lui. Chaque être humain tend naturellement vers l’équilibre et cherchera inlassablement à le trouver, le rétablir et le préserver.
La thérapie est une question de compétences certes, de personnes avant tout mais aussi de bon sens. Quand nous en venons à consulter, il faut bien avouer que c’est parce que nous n’en sortons pas. Pourtant ce n’est pas faute d’y avoir réfléchi à ce problème, cette impasse, ce nœud, ce blocage. Nous cernons assez bien notre problème pour l’avoir retourné dans notre tête de mille façons.
Nous connaissons généralement nos aspirations profondes mais il arrive parfois que nous ne parvenions momentanément plus à les identifier ou les contacter. C’est en remettant cette difficulté en relation, en l’adressant à cet autre-thérapeute, que nous pouvons la rejouer, la remettre en mots, la déplier pour la regarder sous un angle différent et retrouver ce qui fait sens pour nous.
Venir consulter n’est pas une démarche facile. Toute perspective de changement, même s’il est désiré, est une remise en question de ce que nous pensions aller de soi et cette remise en cause, même si elle est nécessaire à notre croissance, peut être source d’insécurité car changer, c’est accepter de perdre ce qui nous a soutenu jusqu’ici et de lâcher nos prises habituelles.
Cela demande que soit instaurée une relation de confiance et de respect, mais aussi et surtout, qu’il existe un degré de sécurité suffisante dans la relation thérapeutique pour pouvoir se risquer à de nouvelles façons d’être en relation avec soi et avec l’autre. Chacun a un imaginaire sur ce qu’il entend et attend d’une thérapie.
Pour certains, ce sera un changement de vie, un bouleversement, un deuil, une perte, une difficulté relationnelle. Pour d’autres, ce sera le désir de se mettre au clair au niveau de leur projet de vie. C’est aussi un espace-temps où l’on peut s’extraire du temps social pour avoir un regard réflexif sur soi et s’entendre penser, un laboratoire où l’on peut « s’essayer », se « risquer en sécurité », à expérimenter d’autres façons de penser et d’être, d’autres modalités d’entrer en relation.
Pourquoi la Gestalt en particulier? Parce qu’elle est une approche qui se veut résolument humaine tenant compte de l’unicité de chaque personne et donc de chaque rencontre.
Parce qu’elle place l’interaction au cœur du travail. Aussi parce qu’elle propose un accompagnement sans forçage qui permet de s’accepter là où on en est et de faire l’expérience d’une nouvelle forme relationnelle qui respecte le rythme naturel du processus de croissance de chacun. Egalement parce qu’elle s’inscrit dans une position de confiance dans la capacité de croissance de chaque personne.
Et enfin et surtout, parce qu’elle a une vision de l’homme profondément optimiste car elle considère que l’homme n’est pas déterminé à l’avance et qu’il se constitue à partir de ces expériences et qu’il peut donc modifier le cours de sa vie par d’autres expériences réparatrices.
Vous l’aurez compris, la thérapie est une affaire de personnes, c’est pour cela que je préconise toujours une première rencontre pour faire connaissance et regarder comment nous pouvons travailler ensemble.
Valérie Ennen Gestalt-thérapeuteValérie EnnenValérie EnnenValérie EnnenValérie Ennen